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 Les vraies fausses histoires de Yukkio

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ZERØ-Yukkio
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ZERØ-Yukkio


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Localisation : Dans le néant ._. en train de chercher une glace au crème brulées qu'il a perdu il y a de cela 365 siècle

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MessageSujet: Les vraies fausses histoires de Yukkio   Les vraies fausses histoires de Yukkio EmptyMer 2 Mai - 18:37

J'ai Pomper les Histoires d'un site c'est pour partager héhé
Kingdom hearrts POWERRR


J'ai toujours communiqué avec mes meilleurs amis par internet, les gens que je rencontre dehors me semblent moins intéressants, la plupart du temps. Je suis quelqu'un d'assez renfermé qui ne fait pas vraiment cas de ce qu'on appelle "le monde extérieur", en fait, je l'avoue.
J'ai délaissé depuis un bon moment WLM pour Skype pour ce qui est de la messagerie instantanée. Plus pratique, moins de bugs et pas de pubs qui agressent les yeux sur chaque pixel disponible de la page.

Mais évidemment Skype n'est pas non plus parfait, il arrive de temps en temps que des conversation plantent sans raisons, que des avatars s'inversent...
J'ai bêtement cru que c'était ce qui était arrivé avec un de mes amis.

"- Il sort d'où ton avat ? lui demandai-je
-Bah... De Kingdom Hearts !
-Non, j'vois une sorte d'allée avec une silhouette blanche ! XD"

Kingdom Hearts est un jeu que nous connaissions très bien, et en l’occurrence, ce n'était pas du tout une image du jeu, en effet, ce que je voyais était une photo d'une allée, bordée de murets, au milieu de laquelle se tenait une longue silhouette blanche, apparemment vêtue d'une longue cape. La photo était petite, je ne pouvait pas l'agrandir pour voir plus de détails, de plus elle était sombre, on aurait dit que la seule source de lumière était le flash de l'appareil qui avait servi à prendre la photographie.
Je pris un screenshot, pour l'anecdote, et me suis mise à chercher dans mes contacts à qui pouvait bien appartenir cet avatar quelque peu dérangeant, car mon ami n'avait lui même aucune idée de la provenance du cliché.
Personne...
Mon ami était le seul à l'avoir. Alors j'ai redémarré mon pc en me disant que ce bug partirait.
Voici une partie du screen que j'ai pris : screen

Une simple image n'allait pas me pourrir ma journée après tout !
C'est ce que j'ai pensé avant que ne se fasse un déclic dans ma tête : la ruelle m'était familière...

Mais avant que je n'aille plus loin dans ma déduction, Skype s'ouvrit de nouveau et mon cœur rata un battement : l'avatar était toujours là, à la différence qu'il était à présent "utilisé" par chacun de mes contacts... Et par moi même.
Qu'est ce que ça voulait dire ?!
J'ai essayé de chercher des explications auprès d'autres de mes amis, soit ils étaient aussi flippés que moi, soit ils me répondaient en riant que c'était Sadako de The Ring et autres bêtises du genre. J'abandonnai rapidement l'idée de trouver des réponses de cette manière.
Pendant que je réfléchissais à un autre moyen de me débarrasser de cette image, la lumière ce fit dans mon esprit.

Cette ruelle, c'est la seule et unique entrée de mon immeuble.



HISTOIRE NUMERO 2 !



Qu’est ce que tu fais là ?





Ouvre les yeux. Vite.





J’ai mal à la tête. Non, en fait, ce n’est pas exact. Tout mon corps me lance. Je n’arrive plus très bien à en distinguer les différentes parties tellement la douleur est généralisée. J’ai la bouche pâteuse et mes paupières semblent soudées. Je n’arrive pas à émerger de ce qui semble être une mauvaise gueule de bois. Du plus pur style carabiné. Qu’est ce que j’ai pu boire hier ? Je me souviens d’une bière, trois maximum… Je me souviens vaguement de ma virée avec cet abruti de Stéphane. Rien d’inhabituel jusque là. Rien qui aurait pu me mettre dans un état pareil. Où est ce que j’étais déjà ? Ce bar miteux près du bureau il me semble. Un bouiboui pathétique qui se la joue carré de jazz, la classe et le jazz en moins. Stéphane m’y traîne systématiquement, à chaque fois qu’il a quelque chose à fêter. Cette fois, c’était sa nouvelle copine. La troisième du mois je crois…










Ca n’a aucune importance.





Dépêche toi d’ouvrir les yeux.











Oui, c’est vrai. On s’en fiche de ça. C’est ce que j’ai pu faire après avoir rencontré sa pimbêche qui est important. J’ai écouté son avis sur le changement climatique, et sur l’impact que nous, petits bureaucrates pollueurs, avons sur le trou dans la couche d’ozone… Et aussi son implication dans le mouvement végétarien, parce que les bestioles ont le droit de vivre et blablabla… Je me demande où il les ramasse, ses copines. Faudrait que je lui demande, tiens. Bon, la douleur passe pas. Je devrais me passer la tête sous l’eau ou prendre un médoc. Mais je n’arrive toujours pas à ouvrir les yeux.



Force toi.





Allez, c’est important.











Je ne vais tout de même pas rester là, à subir les caprices des lendemain difficiles, sans me rebeller contre ma physiologie de petite fille, si ? Bon, je réessaie. Au prix d’un effort considérable, j’arrive à entrouvrir les yeux. D’un seul coup, un tsunami de lumière vient se cogner contre mes rétines. Merde, c’est quoi ça ? Depuis quand ma vieille installation électrique est capable de produire une telle blancheur ?



Tu n’as pas l’air de comprendre.





Ouvre les yeux. Totalement.





Je ne suis pas chez moi, c’est clair et net. Les murs sont grisâtres, sales, ils semblent être là depuis des millénaires. A coté, les néons glauques du plafond, qui abreuvent la salle de cette lumière obscène, passent pour de la technologie high-tech. Et je comprends mieux d’où vient ma douleur : je suis allongé à même le sol, un sol en béton, dur et glacé. Après avoir écouté le bavardage insipide de la nouvelle petite amie de mon insupportable collègue, j’ai tenté de m’éclipser, en prétendant un rendez vous important le lendemain. Mais Stéphane a vu clair dans mon jeu, et il n’avait absolument aucune envie de passer la soirée en tête à tête avec son écolo de blondasse. Alors, il a fait ce qu’il fait à chaque fois quand il refuse de me laisser partir : il m’a payé une bière, puis une autre. Ouhla, oui, du coup, ça fait plus de trois. Mais tout de même pas au point de me retrouver par terre, dans une pièce inconnue, et qui sent l’urine, de surcroît.





Ce n’est pas tout.





Si tu regardais plus attentivement ?











Je me concentre, essaie de visualiser tous les détails de la suite de ma soirée. Mais rien, le néant. J’ai l’impression qu’on m’a enlevé une bonne moitié de cerveau pendant la nuit. Peut être que Stéphane en avait besoin pour rendre sa vie conjugale plus supportable. Qu’est ce que je devrais faire maintenant ? Aller frapper chez lui, tout sourire, pour réclamer à sa blonde mon bout de cervelle dont elle se servait clandestinement depuis… Depuis quand ? Quelle heure est il ? Affolé, je me dresse d’un seul coup. Je vois encore flou à cause de cette lumière stupide. Je cherche désespérément un indice. Merde ! Quelle heure est il ? Où je suis ?
Et là, l’évidence s’impose. Même pour le poivrot demi aveugle que je suis.
Cette pièce est totalement vide.
Les murs sont immaculés.
Et je n’arrive pas à trouver de porte.
C’est un huis clos, dans le sens le plus pur du terme.






C’est bien.





Et si tu tendais l’oreille ?











Après les bières, Stéphane m’a demandé si j’étais en état de conduire. Je sais plus trop ce que j’ai répondu, ce qui doit signifier que je n’étais pas en état de conduire. Mais ça ne veut pas dire pour autant que j’ai fait preuve de lucidité. Je me rappelle du morceau d’Artie Shaw qui se jouait dans le bar. Je me rappelle de la voix criarde de l’écolo anorexique. La question de Stéphane résonne encore dans mes oreilles. Et ici ? Ici. Je referme les yeux. Je me concentre. Au fin fond de ce silence opaque, j’arrive à percevoir quelque chose.
Ca ressemble à une sorte de couinement.
Etouffé.
Merde.
C’est un hurlement. Déchiré.
J’ouvre les yeux. Je suis en nage.
Le silence ? Quel pauvre con.
Derrière les murs, j’entends une chorale de cris de douleurs.






Exact.





Mais, sois plus précis, veux tu ?











Stéphane s’est foutu de ma réponse, quelle qu’elle soit d’ailleurs, vu que je ne m’en souviens plus. Sa copine a ri aussi, un petit rire aigre qui sillonne votre cerveau, avec la ferme volonté de vous faire hurler de rage. Il a fait une pathétique imitation de ma voix, en agitant ses bras mollement, comme s’ils allaient tomber. Ca m’a énervé. Je crois que je l’ai insulté, lui et la chose en forme d’être humain qui le suivait dans son délire éthylique. Je crois que quelqu’un marche dehors. S’il existe encore un dehors, s’entend. Des pas secs qui claquent sur le béton. Il a l’air de tourner en rond. Je commence à vraiment flipper. Je me précipite à l’autre bout de ma prison de lumière, et je m’accroupis dans un coin. Je me bouche les oreilles pour ne plus entendre les cris. Je ferme les yeux. Plus jamais d’alcool. Plus jamais ça. Pitié, faites que ça cesse.






Et après ?





Qu’est ce que tu vas faire maintenant ?











Je me balance, j’essaie de faire en sorte de ne plus sentir le sol sous mes pieds. Je veux m’isoler d’ici, je veux plus être lié à tout ça. Toute cette horreur là, tous ces cris qui articulent vaguement des phrases sans aucun sens. Et ce mec aux semelles molles qui tourne en rond comme un lion en cage, à quelques mètres de moi. Stéphane a mal réagi. Il m’a hurlé que j’étais un pauvre con, ou un truc dans ce goût là. Il m’a dit qu’il en avait marre de s’occuper d’un ingrat comme moi, que j’étais incapable de reconnaître les efforts qu’il faisait pour me faire passer des soirées de rêve. Je crois que je lui ai ri à la gueule, rétorquant que je préférais encore mes soirées passées à regarder de la télé réalité en mangeant des pizzas surgelées, plutôt que de traîner avec ses rebuts de la gent féminine, dans des coins qui n’avaient rien à envier à des latrines de légionnaire. Le barman nous a regardé d’un œil mauvais. Il forcé le son d’une interprétation désastreuse d’un morceau de Miles Davis. Et je crois que j’ai vomi. Monsieur semelles molles s’est approché de mon mur. Je l’ai entendu tâtonner avant d’ouvrir une porte invisible. J’ai plissé les yeux pour voir son visage. La lumière est trop dense. Impossible de voir son visage. Sûrement un visage sec, quatre-yeux, émacié, tortionnaire, potentiellement nazi, comme dans les films américains.










Arrête un peu.





Sois réaliste. Ouvre les yeux.





A quoi tu joues ?











Stéphane m’a saisi par le col. Il m’a giflé. Et j’ai encore vomi. Il m’a secoué, en hurlant des trucs comme « reprend toi un peu mec ! ». Sa copine pleurait, chouinait, gémissait. De sa voix insupportable. Le barman nous regardait, dégoûté. Il avait clairement envie de nous dire de foutre le camp. Avec un peu de chance, peut être qu’il ne me laissera plus jamais entrer dans son bistrot -3 étoiles ? Le nazi approche. Ses pas résonnent, se cognent contre les murs, reviennent vers moi, et mettent mon cerveau au supplice. Il pose une main sur mon épaule et articule quelque chose. J’entends rien. Ses pas saturent encore ma perception. « …lez…eu…..ui ? » Je referme les yeux.
Stéphane chiale lui aussi.
Il sert fort sa main, d’où coule un mince filet de liquide. Son verre est renversé sur le comptoir.
Et dans ce tableau, je suis où ?






Merde !





Allez ! Réfléchis ! Tu y es presque !











Je suis debout. En face du nazi. Au milieu de ma prison sans âge. Je suis debout. En face de Stéphane. Au milieu du bar à jazz.
Je serre sa main dans la mienne, je n’arrive pas à tenir debout.
Je serre le verre dans ma main, je le regarde de haut.
Son visage est réconfortant, il sourit doucement, et murmure quelque chose.
Son visage est révulsé, il grimace de douleur, et me hurle d’arrêter.
Je m’effondre contre lui, je m’agrippe à sa blouse, lui supplie de mettre fin à tout ça.
J’abats le verre sur son visage, lui lacère le visage, mets fin à mon supplice.
Il me dit que tout va bien se passer, que tout est déjà fini. Je n’ai plus à m’inquiéter.
Il crie encore plus fort, il se noie dans son sang, vit l’agonie. Tout va se terminer.






Ca y est.





Alors, comment c’est d’avoir les yeux ouverts ?











La blonde hurle. Le barman s’est enfui. Je me dresse là, le verre dans une main, le reste de son corps dans l’autre. Dehors, une lumière bleue clignote. Le bruit d’un gyrophare se rapproche. Je ne bouge pas, hagard.
Je m’avance dehors, sans hésiter.
L’air frais emplit mes narines. Je jette un rapide regard aux lumières de la nuit, et je monte dans la voiture de police, sans rien dire, sans rien entendre.

Le médecin me serre toujours contre lui. J’ai mal à la tête.

Merde.
J’ai cette gueule de bois depuis combien de temps ?

HISTOIRE NUMEROS 3 !
Celle la je l'adore !


Cher journal intime,
Je m'appelle Iris et j'ai 9 ans. Je ne suis pas très bonne à l'école, mes parents me disputent souvent à cause de ça d'ailleurs. Pourtant, je fais de mon mieux, mais je ne suis pas bien dans ma classe et la maîtresse est méchante.
Moi, de toutes les personnes que je connais, celle que je préfère, c'est ma poupée. Dès fois, je la fais s'asseoir sur mon lit, je la regarde dans les yeux et lui raconte tous mes secrets. Elle m'écoute toujours, elle est toujours attentive et ne me coupe pas la parole. Et en plus, je sais qu'elle en répètera rien à personne. Elle est vraiment rigolote, car elle est articulée alors je peux lui faire faire tout ce que je veux. Je la met sur son socle et je lui fais prendre pleins de poses différentes. Et enfin, ce que je préfère le plus chez elle, c'est son grand sourire. Je suis sûre que, si elle pouvait parler, elle dirait tout le temps qu'elle est très heureuse d'être une poupée et elle aurait bien raison. Ça doit être bien d'être une poupée, car on se fait tout le temps cajoler.

25 janvier, 21h00.

Je me suis faite disputée par mes parents, car j'ai eu une mauvaise note. J'ai tout racontée à ma poupée et, j'ai vu à son sourire qu'elle me comprenait.
De toute façon, je n'ai jamais rien compris à l'école. La maitresse n'arrête pas de me crier dessus car je ne fais rien, mais elle ne m'explique rien.
Je vais essayer de dormir.


26 janvier, 5h49.

J'ai allumée la lumière car j'ai fais un cauchemar. J'ai rêvée que ma poupée m'attaquait avec un couteau. Mais bon, ce n'est qu'un cauchemar, je sais qu'elle ne me fera jamais ça.
Tiens, maintenant que je la regarde, elle a l'air plus triste que d'habitude, elle doit s'inquiéter pour moi.

27 janvier, 8h05.

C'est étrange. Ma poupée ne va pas bien, et je fais de plus en plus de cauchemars. Je ne comprends pas pourquoi. Je pense qu'elle est triste car je la laisse toute seule quand je vais à l'école.
Il faut que je demande à maman une nouvelle poupée, pour qu'elle ait une amie qui lui tienne compagnie quand je ne suis pas là.

30 janvier, 19h30.

J'ai acheté un petit chien en peluche à ma poupée. Comme ça, elle ne se sentira plus jamais seule.
Mais elle me semble encore triste et elle ne veut pas me dire pourquoi.
Je ne sais pas quoi faire de plus, moi !

2 février, 16h08.

J'ai trouvée une boite de clou et un marteau sur mon bureau ce matin. Peut être que mon papa l'a oublié, ou qu'il doit réparer quelque chose, alors je la laisse là...
Ma poupée ne va toujours pas mieux, pourtant je n'arrête pas de la cajolée.

3 février, 03h54

J'ai peur... J'entends des bruits de métal dans un coin de ma chambre... Ma poupée... Je ne la trouve pas... Elle ne peut pas me protéger... Je ne veux pas appelé mes parents, sinon je vais me faire disputer si je les réveiller... J'ai peur...

On entendit quelques heures plus tard un cri perçant venant de la maison de la famille d'Iris.
Les parents accoururent alors dans la chambre de leur fille et la trouvèrent avec des clous à chaque articulation, dans une position étrange, semblable à celle d'une poupée désarticulée.
Sur la table était écrit un mot:


«Maintenant, tu vois ce que c'est d'être une poupée.»

DERNIERE HISTOIRE
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Il y a 5 ans...


J'ai toujours eu des amis imaginaires. Depuis que je suis petite. Je m'étais créée tout un monde, où nous étions très amis. Je les aidais quand ils avaient besoin de moi, et ils me rendaient la pareille.
Nous étions trois: Nina, une jeune fille douce aux cheveux blonds et très longs, qui avait toujours une robe blanche avec des flots et un serre-tête blanc également. Elle avait de grands yeux verts que j'aimais beaucoup.
Et après, il y avait Lina. Elle avait de longs cheveux noirs et de grands yeux roses. Elle avait toujours du rouge à lèvres rouge, un peu le même rouge que le sang. Elle avait également toujours ce sourire en coin. Elle portait une grande robe noire en velours, un peu dans le style gothique lolita.
A nous trois, on était tout ce qu'il y a de plus heureux.
On vivait de superbes aventures ! On allait pique-niquer dans la forêt, on aidait les gens. On coulait le parfait bonheur.
Seulement, mes mauvaises notes à l'école, dûes à mes évasions continuelles et mon manque d'amis, inquiétèrent mes parents. Ils m'emmenèrent voir un psychologue. Il dit que j'étais simplement rêveuse mais qu'il ne fallait pas que mon monde prenne le pas sur le monde réel, car sinon cela pourrait devenir dangereux. Mais je m'en fichais.
Mais, un jour, mes parents me disputèrent et me dirent d'oublier mon monde imaginaire, car sinon je ne ferais rien de ma vie, je ne serai plus rien et je n'aurai pas de diplôme, car je ne serai pas capable de me concentrer sur mes études.
Folle de rage, je suis montée dans ma chambre et j'ai disputée Lina et Nina, disant que tout cela était de leur faute et que je ne voulais plus jamais les revoir. Nina a pleuré, Lina a tout simplement fait son fameux sourire en coin, en disant que j'allais revenir et qu'elles le savaient toutes les deux.


Maintenant...


Je ne suis pas revenue... Elles veulent me tuer... Je le sais, j'entends Lina ricaner chaque fois que je me couche... Il est tard, mes parents ne sont pas rentrés, j'ai si peur...
Je l'entends, la voix de Lina... Elle me dit que mes parents ne rentreront pas, car ils ont eu «un malheureux accident»... Elle dit aussi que c'est ma faute, que je les avais laissés tomber... Nina s'est pendue, elle était trop triste que je ne sois pas là... Elle veut se venger et venger Nina... Elle veut me tuer... Je vois ses yeux roses luisants dans le noir de ma chambre... Je suis tapie dans l'ombre et j'essaye de me cacher mais je sais qu'elle me voit... Je ne sais plus quoi faire...
« -Lina ! Ne me fais pas ça... Tu es mon amie, tu sais...
-Je suis ton «amie»... ? Mais tu sais... Si je l'étais vraiment, tu ne m'aurais pas laissée tombée...
-Je suis désolée... J'étais en colère...
-Tu n'as même pas de remords... Tout est de ta faute... La mort de Nina... C'est ta faute...
-Mais... Je ne voulais pas... Je te le promets...
-J'ai brûlé ton monde, il n'en reste plus rien... J'ai tué tous les animaux... Tu es prise au piège, Anna....
-Pourquoi tu me fais ça... ?
-Pourquoi tu nous a fait ça... Hein ?! "

Elle s'approche brusquement de moi... Elle a un couteau dans la main...


-Mais voyons Anna, pourquoi trembles-tu... ? Tu sais bien que tu es mon amie... A la vie... A la mort...


*


Extrait du journal paru le lendemain du meurtre...


Une jeune fille, prénommée Anna, a été sauvagement assassinée. La police a retrouvé son corps ouvert. Le gros intestin formait un cœur autour d'elle. Ses parents avaient été assassinés quelques heures plus tôt, quelqu'un avait trafiqué les freins de leur voiture.
Le plus étrange dans cette affaire est l'inscription à côté du corps de la jeune fille: «Tu es mon amie pour toujours». Le sang utilisé pour écrire cela n'est ni celui d'Anna, ni de ses parents. En vérité, il ne correspond à rien: ni à celui d'un animal, ni à celui d'un humain. Comme si l'assassin n'avait jamais existé... Twisted Evil Twisted Evil Twisted Evil Twisted Evil Twisted Evil Twisted Evil Twisted Evil Twisted Evil Twisted Evil Twisted Evil Twisted Evil Twisted Evil Twisted Evil Twisted Evil Twisted Evil Twisted Evil Twisted Evil Twisted Evil Twisted Evil Twisted Evil Twisted Evil Twisted Evil

Yeeeeeeeeeeeeeep Fin des histoires Pompée Twisted Evil
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MessageSujet: Re: Les vraies fausses histoires de Yukkio   Les vraies fausses histoires de Yukkio EmptyMer 2 Mai - 19:35

C'est long ...
Je vais photocopier et le lirais plus tard ^^
Mais tu devrais te lancer dans l'ecriture d'un roman <.<
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ZERØ-Yukkio
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MessageSujet: Re: Les vraies fausses histoires de Yukkio   Les vraies fausses histoires de Yukkio EmptyJeu 3 Mai - 5:41

._. lol ._.

Yukiiiii :O "Pompée" = "Empreinter"

C'est pas moi qui a ecrit les Histoires x)
J'en ai ecrit des aussi bien pour mes redac de French *-*
Very Happy
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ZERØ-Yukkio
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MessageSujet: Re: Les vraies fausses histoires de Yukkio   Les vraies fausses histoires de Yukkio EmptyJeu 3 Mai - 5:44

Brrrr Le journal intime de Iris *_*
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MessageSujet: Re: Les vraies fausses histoires de Yukkio   Les vraies fausses histoires de Yukkio Empty

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